LES DERNIERS ROMANTIQUES - MARDIS MUSICAUX

PARTENAIRE T.MA

• Gabriel Le Magadure, violon -

• Mathieu Herzog, alto -

• Astrig Siranossian, violoncelle -

• Frank Braley, piano -

                      Strauss - Quatuor pour cordes et piano do mineur
                      Mahler - Quatuorsatz
                      Dvorak - Quatuor pour cordes et piano en mi bémol 
  

Un programme pour redécouvrir la musique de chambre au tournant des XIXe et XXe siècles, par les derniers compositeurs romantiques. Deux œuvres de jeunesse : chez Mahler, le seul mouvement de musique de chambre achevé qui nous soit parvenu ; chez Richard Strauss, dernier représentant du romantisme allemand, une musique de chambre importante complémentaire de sa musique vocale et orchestrale. Une dernière œuvre plus mature de Dvorak enfin, dans l’une des pièces les plus connues pour cette formation, avec celles de Schumann (1842), Brahms (1865) et Franck (1887).

Gabriel Le Magadure, élève du CNR de Nantes puis du CNSMD de Lyon, est violoniste du Quatuor Ebène, avec lequel il se produit dans les salles les plus prestigieuses. Astrig Siranossian, issue elle aussi du CNSM de Lyon, est Premier Prix et plusieurs fois Prix Spécial du concours international K. Penderecki. Très attachée à la figure de Nadia Boulanger, elle joue en soliste avec de grands orchestres sur deux violoncelles de prestige (Ruggieri, 1676 et Gagliano, 1756). Frank Braley remporte en 1991 le Premier Grand Prix et le Prix du Public du prestigieux Concours Reine Elisabeth de Belgique, le public et la presse s’accordant à reconnaître en lui un « grand » lauréat. Mathieu Herzog, altiste et membre fondateur du Quatuor Ebène jusqu’en 2014, est désormais chef de l’ensemble Appassionato et a pris en charge en janvier 2024 une classe de direction au Conservatoire Rachmaninoff.

Durée : 1h40

Dans le cas de tarifs réduits, un justificatif pourra être demandé lors du contrôle d'accès à la salle. En l’absence de justificatif en cours de validité, le paiement d’un complément sera alors demandé afin que le spectateur s’acquitte du plein tarif.

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